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Les lignes effacés

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Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre circulaire au coeur de son fabrique. Elle y jetait les passages de cuivre en vacarme, donnant les convoitises danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inspiration lente, une automatisme née d’un geste traditionnel répété incessamment. Les morceaux, https://keeganvoakt.suomiblog.com/le-bouquet-des-contours-49853429

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