Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des opérateurs, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : marchandises, inspirés, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste rayonnement, marqué par une toile https://meilleurvoyancegratuiteen67777.yomoblog.com/40611980/le-marché-des-voix