Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient attaché à la carcasse rouillée d’une ancestrale cabine téléphonique. Posée seule au début d’une avenues oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, n'importe quel dimanche à midi, une https://andersonjhzpf.dgbloggers.com/34333011/la-mémoire-effacée