Le théâtre s’élevait au cœur de le village, astreignant malgré ses murs fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné depuis plus d’un siècle, il avait des anciens temps fêté les adultes musiciens de son période. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses voies désertes. Arthur poussa mollement https://stephenzgiih.blogsidea.com/40174241/la-partition-de-l-avenir-figé