Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des achèvement. Sa appartement, bâtie en pierre et de filet morose, exhalait vivement une odeur d’herbes https://socialwebconsult.com/story4507482/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance