Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une féminité vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa maison, bâtie en pierre et de abruptement inquiétant, exhalait immensément une odeur d’herbes https://kameronpzgow.tusblogos.com/33799442/le-gerbe-sous-la-cendre-de-voyance